Héros d’ailleurs

La collection Héros d’ailleurs se propose de présenter des personnages historiques non européens au travers d’un roman relatant un épisode fictionnel de leur jeunesse.
L’idée est de proposer une piste d’approche qui éveillera la curiosité du lecteur et l’amènera à s’interroger sur la biographie du personnage historique mis en scène.

Les petits jeux d’Attila

Atti, un jeune enfant des steppes, passe son temps à jouer aux latroncules (une sorte de jeu d’échecs asiatique) avec ses amis. L’enfant, benjamin de la fratrie, est brillant et réputé comme tel. Mais quand son frère ainé lui fait découvrir les vertus mortifières d’une plante anodine, Moundi qui deviendra plus tard Attila, ne peut s’empêcher de l’expérimenter sur tous les animaux qu’il rencontre. Une vocation semble née pour ce stratège en herbe, expérimenter les germes de la destruction. Vocation qui le poussera à devenir « le Fléau » du Monde.

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Gengis Kahn et la disparition du Kök Tengri

Avant de devenir le Gengis Kahn, chef suprême de la Horde d’Or, qui s’empara de toute l’Asie ainsi que des confins de l’Europe, Tejmüdjin n’était que l’orphelin de Yesugeï, berger mongol traîtreusement assassiné. Promis avant le drame à Boerte, la fille du chef d’une puissante tribu, notre héros se met en tête de retrouver la statue du dieu Kök Tengri, Seigneur du Ciel et de la Terre, dérobée à la tribu de sa promise. Le jeune mais ambitieux berger retrouverait sa dignité et son honneur en déjouant les plans des mystérieux voleurs.

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Saladin l’enfant sage

A l’époque des Croisades, la bande d’Hassan à kidnappé deux enfants francs dans le souk de Balbeek, petite ville commerçante syrienne aux confins des principautés Franques d’Orient. La cité est en effervescence entre les parents occidentaux à la recherche de leurs enfants et les habitants incrédules. Selon Hicham, de la bande d’Hassan mais ami de Youssef, fils du gouverneur et futur Roi de tout le monde musulman, seul ce dernier peut les tirer d’affaire. Mais Hassan déteste Youssef et croit obtenir la gloire en sacrifiant les enfants des ennemis.

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Cléopâtre et la vraie vie

Cléopâtre, jeune princesse d’Egypte, ne supporte plus la souffrance de son peuple, confinée qu’elle est dans son univers protégé de princesse de rang, et entourée de serviteurs dévoués mais hypocrites. Malgré les sarcasmes de sa grande soeur Bérénice, héritière désignée du Trône, Cléopâtre s’entête à essayer d’attirer l’attention de Pharaon sur les misères du bas peuple. Mais quand son père, maître absolu de l’Empire, disparaît, Cléopâtre n’a d’autre envie que de retrouver celui qui l’a toujours protégée et pour lequel elle voue une admiration sans limite.

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Golda Meir, de bois et de feu

La jeune Golda, juive russe d’Ukraine, a débarqué dans le Middle West américain avec sa famille pour fuir la misère et les pogroms. Mais la vie dans le Wisconsin n’est guère plus reluisante que dans son pays natal. Son village est tyrannisé par un shérif alcoolique, raciste et violent. Cependant, Golda parvient à se lier avec Samy Brown, un vieil ouvrier noir qui veille sur elle affectueusement. Leur vie misérable pourrait être supportable, si le shérif n’avait juré leur perte. Golda Meir a participé à la création de l’état d’Israël et en est devenue Premier Ministre de 1969 à 1974.

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Indira L’indépendante

Indira, fille de bonne famille indienne, est envoyée en Angleterre pour y poursuivre ses études et y parfaire son éducation. Elève studieuse mais révoltée par la misère de l’Inde, son pays, Indira se lie d’amitié avec un jeune britannique qui lui fait pénétrer un cercle de jeunes activistes révolutionnaires. La jeune fille se retrouve confrontée à des choix : l’amour et la violence ou le renoncement et la paix. Indira Gandhi est devenue Premier Ministre du gouvernement indien de 1966 à 1977 puis de 1980 à 1984.

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Kinsaku le poète guerrier

  • Calouan
  • Elis Wilk
  • 14 cm x 12 cm
  • 48 pages
  • 8,90 €
  • 978-2-919934-83-6
  • EN RUPTURE DE STOCK

Kinsaku, dernier né d’une longue lignée de guerriers au service des seigneurs du Japon, parle très peu. Au point que ses camarades le surnomment Kinsa le muet. Il n’aime pas se battre non plus, au désespoir de son père qui s’obstine pourtant à lui faire prendre des cours de combat. Kinsaku rêve d’autre chose, de poésie, de mots qui dansent et s’organisent dans sa tête mais ne parviennent pas à franchir ses lèvres… Il devra apprendre à lutter, mais pour se faire enfin entendre. Basho-Kinsaku Matsuo est l’un des pères fondateurs, au XVIIème siècle, des poèmes sous forme de haïku.

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